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J'avais eu l'occasion de voir une exposition de photos de betterave à
sucre réalisées par Jean Foucault : ces photos représentaient
toute une variété d'animaux divers. Autrement dit, avec ses photos,
Jean Foucault nous emmenait dans son monde à lui.
Jean Foucault nous emmène dans des territoires, dans des jeux de comptines ou dans le volcan de la Sucrière. Il sait nous garder vigilants à la lecture, en nous faisant naviguer en différentes périodes :
Dans l'écriture de Jean Foucault, il y a des images qui me font penser à du surréalisme. Il y a une truculence des mots qui font choc et s'inscrivent dans notre mémoire. Soit l'écriture joue au slogan, soit elle joue métaphore pour mieux nous retourner et emmener loin. Il donne l'impression d'une écriture simple, mais ce n'est qu'une impression, car en y regardant bien, c'est le travail réalisé qui donne cette simplicité.
Laissez-vous prendre à cette poésie, elle vous emportera dans l'univers imaginaire d'un être qui a gardé un regard sur tout ce qui l'entoure. C'est ce que j'ai fait et le voyage en "Betteravie", en "bettàvivre", en un monde féérique où la sucrerie est à la fois la douceur en bouche et l'usine où le sucre est créé Dans un monde de poésie qui revisite à la fois l'histoire et le temps présent. Gilbert Desmée |
sommaire Poésie Editions Henry Collection La main aux poètes 100 pages - 6 € | ||||||||||||