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Moby Dick |
Les grandes lignes du dossier
Jean Giono consacre plusieurs années de sa vie à traduire Moby Dick et publie un essai de 180 pages
intitulé Pour saluer Melville.
Albert Camus cite ce roman comme une œuvre vraiment absurde, « L’un des mythes les plus bouleversants qu’on ait imaginés
sur le combat de l’homme contre le mal ».
Jean-Paul Sartre y voit un « formidable monument » et ajoute que « Melville est le plus moderne des écrivains ».
William Faulkner déclare au Chicago Tribune que c’est le livre qu’il aurait aimé écrire.
Dominique Fernandez en parle comme d’un « chef d’œuvre absolu ».
Une telle avalanche de compliments nous a donné envie de vagabonder sur les traces de la baleine blanche
pour comprendre la fascination exercée sur des auteurs aussi prestigieux et des lecteurs aussi exigeants.
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Sommaire
Herman Melville
Mais d'où vient-elle cette baleine blanche ?
Jean Giono : Pour saluer Melville
Camus, Sartre, Faulkner, Fernandez
Traduction, belle infidèle
Les adaptations pour la jeunesse
Quelques pistes de lecture baleinières.
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